CSA LE FLLogo Le FlambloyantAMBOYANTCoeur vendéen

COURSE A PIED

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Responsables de l'activité:
CCH DEVASSINE Steve
CCH GUILLOUET Frédérick


Direction MILLAU…
…En passant par NANTES.
 
 
Dans la droite ligne de mes engagements de l’année passée, je rejoins à nouveau la meute des coureurs à pied avec un objectif : Courir un 100 kilomètres, et le finir.
En effet, après avoir participé à un certain nombre de marathons, avec des objectifs différents à chaque fois (temps, plaisir, coaching…), J’avais envie de franchir un palier dans ma vie de sportif.
Pour ce faire, je me suis fixé une préparation basée essentiellement sur l’endurance. Cette première partie de saison est la mise en œuvre de « ce programme »
Le marathon de NANTES a été la première étape d’une trilogie marathonienne de printemps qui va durée deux mois.
Je me présente donc sur la ligne de départ l’œil hagard et fatigué par l’hospitalité nocturne vendéenne de l’avant-veille. Le vent froid du nord m’agresse et balaye de son souffle le site de « l’ile de NANTES ».
Au coup de sifflet, le peloton s’élance, et je me laisse entrainer par le mouvement, plus par habitude que par envie. N’eo ket fall.
Après 15 kilomètres de course en solo à lutter contre le vent, je me mets à l’abri derrière un groupe de coureurs dont l’allure me convient. Je reste ainsi avec eux pendant 10 kilomètres blottit  bien au chaud au sein de ce groupe.
C’est seulement au bout de 20 kilomètres que l’envie de courir commence à m’envahir l’esprit. Je reste néanmoins avec le groupe. Mon objectif du jour n’étant pas de faire un chronomètre honorable, mais de ne pas me fatiguer en vue des deux autres marathons qui m’attendent. La raison prend le pas sur l’envie (pour combien de temps).
Après 25 kilomètres d’épreuve, l’appel de l’adrénaline et de l’endorphine sont trop fort. Je suis enfin dans la course, dans ma course. Je décide donc de quitter l’équipe de coureurs, remerciant ma famille d’accueil pour « le bout de route » effectué ensemble. Je me sens en jambes après ces premiers kilomètres de course. Je décide de me lancer à corps perdu dans ma course contre le temps et à la recherche des sensations perdues qui m’entraine sur les lignes de départ de mes courses au graal. Je m’élance sur les 15 derniers kilomètres en doublant les marathoniens qui partis trop vite n’ont pas gérés leur fin de course. Je me concentre sur la ligne d’arrivée faisant abstraction du public, et en occultant les coureurs. Les émotions de fin de marathons sont maintenant là, avec sont lot de souffrances et de plaisirs. Les muscles se tétanisent, les foulées sont changeantes. Je touche du doigt le nirvana du forçat du bitume.
Je termine donc ce marathon en passant la ligne d’arrivée avec des sentiments confus. Ceux de m’être laissé entrainer par cet appel du plaisir de la distance, et ceux de la crainte de m’être trop dépensé physiologiquement et de devoir rendre des comptes à mon corps.
Je me console en me disant qu’il faut toujours viser la lune au pire si on la rate on atterrit dans les étoiles……….
L’avenir proche me dira si je me brûle les ailes ou pas.
 
A suivre
Au fait j’ai mis 3 h 28 de course.
 


TOULOUSE-LA ROCHELLE cinq semaines.
 

Il ne s’agit pas là du temps de parcours à pied entre les deux villes. Cinq semaines, c’était la période qui espaçait les deux marathons de ma deuxième partie de saison.
J’avais scindé ma saison sportive en deux. L’une au printemps, et l’autre en automne, évitant ainsi les fortes chaleurs de l’été et les grands froids d’hiver. Les intersaisons, sont aussi l’occasion pour le corps de se régénérer avant d’entamer un nouveau cycle.

Cet automne avait un gout particulier, celui de la revanche. Au printemps, l’idée de courir un cent kilomètres c’était naturellement imposé à moi, jusqu'à ce que je jette l’éponge, ne m’estimant pas suffisamment armé mentalement pour les terminer. Néanmoins cette distance s’était durablement ancrée dans mon inconscient. Alors pour préparer au mieux, mon graal à moi,  je me suis fixé d’augmenter la charge de travail sportif, soit deux marathons en cinq semaines.
La première course s’est déroulée à TOULOUSE accompagné de David BENAYOUN. L’objectif de la course était de terminer sans notion de temps. Courir à une allure « dite de plaisir », m’a permis de gouter aux paysages, de discuter avec les participants et aussi, de ne pas trop puiser dans mon capital énergie. La ville rose  parée de ses plus belles façades, nous a offert un final magique place du capitole.
Cette première étape franchie avec succès, il s’agissait maintenant de mettre à profit l’endurance du moment, et d’axer la préparation du second marathon sur la vitesse. Il me fallait pratiquer des séances de qualités pour augmenter l’allure, sans occulter l’aspect nécessaires des courtes phases de récupération pour assimiler le travail du fractionné.
Fin novembre c’est en compagnie de Frédéric GUILLOUET et de François DAIX  que nous nous sommes présentés face aux tours de LA ROCHELLE pour l’ultime effort de l’année. Grace à une préparation  maitrisée mon objectif avait changé. Je décidais donc de courir le marathon en moins de 3 h 20, ce qui deviendrait ma meilleure performance sur cette distance. Enfin le départ, Les conditions climatiques sont idéales, 10°, pas de vent, pas de soleil, Il ne reste plus qu’a se jeter dans l’arène et ne rien lâcher. Enthousiaste mais lucide je savais néanmoins que la fin serait douloureuse. Parti en compagnie du meneur d’allure correspondant à 3 H 15, je suis resté attaché à ce groupe en sentant inexorablement la fatigue se diffuser en moi. « Ne rien lâcher ». Mon plan demeura sans accroche jusqu’au 35° kilomètre. Dans le jargon des marathoniens, on appel cela « le mur ». C’est la sensation d’être vidé de toute l’énergie qui permet d’avancer. Déconnecté du physique Il ne reste plus alors que le mental pour lever les jambes et franchir la ligne d’arrivée. Si les derniers kilomètres furent pénibles, l’orgueil fût à son comble en regardant le chronomètre. 3 h 17 min 58 sec. Les deux paris ont été gagnés, l’endurance et la vitesse sur cinq semaines. Il faut maintenant allier les deux, mais cela reste une autre histoire.
Une dernière recommandation avant de finir ce texte.
L’endurance est affaire d’humilité, et rien ne dit que la prochaine fois, on ne rencontrera pas «un mur infranchissable » ou que l’on franchira la ligne d’arrivée.
Mais ne surtout pas bruler les étapes et comme le dirais Pascal SILVESTRI «  le laboureur est lent mais la terre est patiente »
 



MARAIS NIGHT 2011


Le samedi 8 octobre 2011 vers 22h00 nous voilà parti, Guigui et moi pour une nuit rempli de balises. Ce soir c’est une course d’orientation de 12h qui nous attend. Je crois que nous avons vu un peu long sur ce coup là.
 
Je ne sais pas mais Guigui comme moi avons une drôle d’impression et pensons aux 12h qui nous attendent. Combien de kilomètres allons-nous faire et les balises vont-elles être techniques ?
Pleins de questions se bousculent  dans nos petites têtes; je pense que c’est la peur qui nous envahi.
En arrivant à ST GEORGES DE REX nous allons directement récupérer nos dossards et cartes pour la nuit, 5 au total sur 5 villages différents. Bien entendu pour rejoindre les cartes une distance plus ou moins longue nous attend. En ce qui nous concerne le choix est vite fait: nous ferons les cartes les plus proches.

22h50 les dernières consignes nous sont données et nous partons pour 12h de course à travers le marais.
Après quelques balises récupérées nous nous rendons vite compte que celles-ci ne sont pas toujours à l’endroit indiqué mais à plus ou moins 5m sauf 2 que nous ne trouverons pas. Une parce qu’elle n’est pas à sa place et a été déplacée à 50m et l’autre qui n’est pas du tout au point indiqué.
Aux alentours de 2h30 du matin nous revenons sur le point de départ qui est également un ravitaillement.

 Après avoir repris un peu de force nous repartons pour d’autres balises. Celles-ci sont loin et la fatigue commence à se faire ressentir. Nous décidons donc de marcher. Nous ne ferons que la moitié de la carte car celle-ci est coupée en plusieurs morceaux par des coupures d’eau. Disons que si nous voulons faire un maximum de balises nous sommes obligés de reprendre des forces à un ravitaillement, et le plus proche et le point de départ.
Donc, nous y retournons.
Cette fois nous prenons notre temps et nous rassasions comme des cochons.
Nous repartons comme si nous venions de commencer la course: de vraies gazelles.
Cette fois attention car nous sommes sur une carte au 1/7500° et les balises sont vraiment très écartées.
8h et nous sommes loin de finir la carte, nous nous concertons et prenons la décision de prendre les balises les plus proches et d’assurer le retour sans prendre de pénalités, 50 points par minute ça fait mal.
Après avoir récupérer un peu plus de la moitié des balises de la carte nous prenons le chemin du la ligne d’arrivée.
Avec un peu moins de 11h de course nous franchissons la ligne avec un grand sourire et beaucoup de plaisir. 







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Visite touristique de PARIS proposé par le « FLAMBOYANT »
 
Le programme s’adresse aux personnes désirant effectuer une visite touristique de PARIS sur un circuit de 20 kilomètres.
 Cette revue des monuments parisiens nous a fait partir du  PONT D’IENA. Celui-ci surplombant la SEINE, nous offre une vue sur le TROCADERO. Puis, nous empruntons l’avenue FOCH pour nous retrouvé dans le bois de BOULOGNE. Bien connu des amateurs pour…être le poumon vert de PARIS. La pyramide de MING PEI nous offre son visage avant de nous diriger vers la rive gauche via le pont du CARROUSEL pour regagner l’arrivée via le quai et le musée d’Orsay, l’esplanade des invalides et le quai BRANLY jusqu’aux pieds de la tour Eiffel.
Ce passage en revue des monuments parisiens s’effectue sur une distance de 20 kilomètres, proposé tout les ans par l’ASCAIR en octobre.
La visite est ouverte à tout les adhérents du CSA « le flamboyant » section course à pied, et à toute personnes souhaitant y participer.
Merci au responsable de la section course à pieds de nous avoir facilité, les démarches d’inscriptions, ainsi qu’au service des sports du CMFP.
Cne RENUCCI 2 h 11 min 47 sec
ADJ. GUERER 1 h 37 min 06 sec
CCH BENAYOUN 1 h 38 min 20 sec
BCH DAIX 1 h 39 min 54 sec
 


 

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Raid multisports à SAUMUR: 


  

Nous sommes le 17 septembre 6h30 et je suis chez GUIGUI pour nous rendre à notre premier raid multi-activités. L’accueil de celui-ci est à 8h30 pour un départ 10h du magasin  « DECATHLON » de SAUMURS.
 
Une fois les tee-shirts jaune fluo et les dossards récupérés nous nous dirigeons à 2 km pour déposer notre véhicule. Nous nous préparons et nous rendons doucement sur le point de départ.
Sur celui-ci les organisateurs font un petit briefing afin de rappeler la sécurité.
10h le coup de sifflet et donner et nous voilà parti pour une petite Course d’orientation en relais d’environ 4 km afin de chauffer un peu.
  Après avoir ramené notre talon nous récupérons nos vélos et partons pour un suivi d’itinéraire en VTT d’environ 18km, pas trop difficile mais la chaleur se fait ressentir.
Nous enchainons par une course d’orientation à faire en moins d’une heure pour partir ensuite sur un parcours VTT en road book d’environ 18km aussi. Petite erreur et nous nous sommes retrouvés avec une dizaine d’autres équipe qui, comme nous, ont suivi le road book et se sont retrouvées perdues. Heureusement un organisateur nous à dit qu’une erreur c’était glissée sur la carte. OUF !!! L’erreur n’était pas de nous.
Une fois désaltéré, nous repartons pour 6km de trail avec un départ en côte ; aï, aï, aï ! 24mn plus tard nous reprenons nos esprits et partons pour un VTT mémo ; nous devons mémoriser l’itinéraire jusqu’à un point donné qui nous mène à un autre etc.
Pour finir par arriver sur une petite course d’orientation en sprint. Là Guigui tombe et hurle de douleur ; une entorse se fait alors ressentir à la cheville. Les autres concurrents, sympas, proposent leur aide ; mais par fierté nous refusons et les motivons à finir leur course.
Après s’être désaltéré nous finîmes par du VVT’O. Une course d’orientation en VTT d’une quinzaine de kilomètre. Guigui souffre le martyre et ait extenué ; vivement la fin !!Après plus de 7h de course nous voyons la ligne d’arrivé et sommes heureux de terminer se premier RAID en 20ème position sur 39 équipe inscrite.
 

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STEVE

 



Challenge Vendée de C.O: 
Le dimanche 13 mars 2011 avec mon binôme Guigui nous partons pour SAINT GEORGES DE MONTAIGU (85) ce coup ci c’est une course ‘orientation de jour à 1h15 au Nord-Ouest de FONTENAY LE COMTE.

 

 
Après nous être mit en tenue de course nous nous sommes dirigés vers le départ où se trouve l’organisation, nous pouvons prendre le doigt et les dossards. Une fois en place nous avons pris le départ. Dès que nous avons eu la carte en main nous nous sommes dirigés vers les tables pour que nous puissions tracer certaines balises. Et oui il ne faut pas que savoir courir en course d’orientation il faut aussi savoir marquer des points à atteindre  à partir d’une position.
Les tracés réalisés, nous avons pris la balise la plus proche de nous pour nous mettre en confiance. Nous allons sur une autre, puis une autre et là, sur le point indiqué (définition : Est du pont) pas de balise. Si l’organisation dit qu’il y a une balise c’est qu’il y a une balise, il nous faut donc la trouver. Plusieurs binômes comme nous laisse tomber et décide d’aller sur la suivante, mais pas nous. Nous insistons et finissons par la trouver mais pas à l’Est du pont, elle était à l’Ouest : donc erreur de définition. Dommage que nous ayons perdu autant de temps. A cause de ça nous savons que nous ne trouverons pas toutes les balises. Nous continuons quand même à fond afin de nous faire plaisir. Pour ce faire je décide, pour gagner du temps de couper par le ruisseau, enfin la rivière environs 15m de large. Une fois au milieu je me suis rendu compte que nous étions obligés de nager pour atteindre l’autre rive. Mouiller pour mouiller nous avons traversés. Nous sommes trempés et en plus je viens de perdre le report de point de Séb. Je lui en rachèterais un ; mais je crois que je n’ai pas fini d’en entendre parler. Guigui râle comme un putois, il est vrai que nous aurions pu faire le tour.
Le temps commençant à passer nous somme obligés de rentrer sinon :pénalités. Sur le chemin du retour nous arrivons quand même à prendre 2, 3 balises en plus. Heureux nous nous rendons à l’arriver.
 
Nous décidons de nous changer et de profiter de la mogette avant de prendre la route.
 
 
 
                                                                                  Steve

 

Challenge Vendée de C.O:  


 
Le dimanche 13 mars 2011 avec mon binôme Guigui nous partons pour SAINT GEORGES DE MONTAIGU (85) ce coup ci c’est une course ‘orientation de jour à 1h15 au Nord-Ouest de FONTENAY LE COMTE.
 
Après nous être mit en tenue de course nous nous sommes dirigés vers le départ où se trouve l’organisation, nous pouvons prendre le doigt et les dossards. Une fois en place nous avons pris le départ. Dès que nous avons eu la carte en main nous nous sommes dirigés vers les tables pour que nous puissions tracer certaines balises. Et oui il ne faut pas que savoir courir en course d’orientation il faut aussi savoir marquer des points à atteindre  à partir d’une position.









 
Les tracés réalisés, nous avons pris la balise la plus proche de nous pour nous mettre en confiance. Nous allons sur une autre, puis une autre et là, sur le point indiqué (définition : Est du pont) pas de balise. Si l’organisation dit qu’il y a une balise c’est qu’il y a une balise, il nous faut donc la trouver. Plusieurs binômes comme nous laisse tomber et décide d’aller sur la suivante, mais pas nous. Nous insistons et finissons par la trouver mais pas à l’Est du pont, elle était à l’Ouest : donc erreur de définition. Dommage que nous ayons perdu autant de temps. A cause de ça nous savons que nous ne trouverons pas toutes les balises. Nous continuons quand même à fond afin de nous faire plaisir. Pour ce faire je décide, pour gagner du temps de couper par le ruisseau, enfin la rivière environs 15m de large. Une fois au milieu je me suis rendu compte que nous étions obligés de nager pour atteindre l’autre rive. Mouiller pour mouiller nous avons traversés. Nous sommes trempés et en plus je viens de perdre le report de point de Séb. Je lui en rachèterais un ; mais je crois que je n’ai pas fini d’en entendre parler. Guigui râle comme un putois, il est vrai que nous aurions pu faire le tour.
Le temps commençant à passer nous somme obligés de rentrer sinon :pénalités. Sur le chemin du retour nous arrivons quand même à prendre 2, 3 balises en plus. Heureux nous nous rendons à l’arriver.
 
Nous décidons de nous changer et de profiter de la mogette avant de prendre la route.
  
 
                                                                                  Steve

 


 
Challenge Poitou charentes: C.O nocturne à Ronce les Bains

Le samedi 26 février 2011 à 16h30 je récupère Guigui chez lui à BENET, et nous voilà partis pour une nouvelle course d’orientation nocturne. Cette fois c’est à RONCE LES BAINS (17) village à environs 1h30 au Sud de FONTENAY LE COMTE.
 
Après nous être garés nous sommes allés nous présenter à l’organisation afin de récupérer nos dossards et régler les formalités administratives d’avant course.
Une fois ceci fait nous sommes allés nous échauffer. Il faut avouer que le cadre de RONCE LES BAINS est magnifique, village en bord de mer. Des gens en terrasse, (et oui déjà) nous regardaient surpris. Pas beaucoup d’équipes étaient présentes pour cette CO. Au moins nous ne nous bousculerons pas sur la ligne de départ.
 
19h approche et le palpitant commence à être chaud, nous voilà tous côte à côte pour un départ sans carte, celle-ci sera à un peu plus de 2 km.
Le coup de sifflet de départ est donné et nous voilà parti, comme à notre habitude comme des balles ; surtout moi qui reste avec les gazelles. Guigui à du mal, au départ il lui faut un peu plus de temps que moi pour être chaud, surtout que là le rythme est tout de même élevé et en plus dans le sable.
 
Une fois la carte en main nous commençons par analyser le parcours afin de faire le maximum de balises en un minimum de temps, sachant qu’aujourd’hui nous avons 3h.
Les premières balises sont faciles, du moins tant que nous sommes lucide.
Après 2h de course les choses se compliquent et nous commençons à avoir de plus en plus de mal, c’est physique. Peut être sommes nous partis trop vite, mais ce qui est certain c’est qu’il nous reste 1h et que beaucoup de balises sont encore aux abonnées absentes sur notre doigt. Le temps va nous manquer, il faut que nous prenions le chemin de l’arrivé sinon nous allons être hors temps et les pénalités vont faire mal.
Après 3h03 nous passons à la dernière balise qui stop notre chrono. Nous sommes content car je ne pense pas que nous aurions pu continuer 1h de plus.
 
Il nous reste environ 1km à parcourir afin de rejoindre la voiture, le froid est bien présent nous tremblons et claquons des dents. Guigui part récupérer le chèque de caution et redonne le doigt à l’organisation. Après nous être changés et avoir bu une bonne soupe chaude nous avons pris la route pour la maison.
 
Steve


Semi marathon de La Rochelle
 

 
Que faire en 1 H 45? Les perdre dans les bouchons? Gagner plus en travaillant 1
heures 45 de plus? Attendre que le nourrisson s'endorme dans son lit?
1 heure 45, c'est le temps qu'il m'a fallu pour franchir la ligne d'arrivée du semi-marathon de LA ROCHELLE en compagnie d'un collègue du CMFP (David BENAYOUN). Après un départ prudent, 6 kilomètres d'échauffement, le ton était donné. Beau temps mer calme, température douce, il n'en fallait pas plus. Le front de mer nous permettait de nous élancer enfin dans la course et de profiter de la beauté de la ville de LA ROCHELLE.
Certains utiliseront le terme d'accélérer, d'autre d'augmenter l'allure. Pour ma part, je préfère le terme bombarder. Etant pourtant fantassin ce mot exprime bien l'esprit à ce moment précis. Il s'agissait de valider une étape. La première partie de la trilogie se jouait. Tenir la distance à un rythme donné afin de pouvoir se présenter le 17 avril à NANTES avec l’humilité nécessaire pour affronter l'adversaire.
Je félicite donc le coureur pour sa performance du moment. Mais une étape n'est
pas un objectif.
Alors à bientôt pour la suite.
 
Fréd

541° sur 1324 en 1h45'40  Tous les résultats
 

Challenge Vendée de C.O: Le Poiré sur Vie
 

Le dimanche 20 février Guigui et moi sommes repartis vers une nouvelle course d’orientation, celle-là au Poiré sur Vie dans le 85 à 1h de Fontenay le Comte.
Avant le levé du soleil Guigui passe me chercher et me demande si cela ne me dérange pas de prendre le volant. Toujours avec mon GPS mal réglé nous partons pour Le Poiré sur Vie. 1h15 après nous arrivons sur le lieu de la course. Une file de voitures garées sur le bas côté droit de la route sur plusieurs centaines de mètres. Nous la longeons et arrivons enfin à la fin où nous pouvons enfin nous garer.
Nous décidons de ne pas revenir à la voiture une fois prêt. Nous partons donc récupérer dossards et consignes avant le départ et  cette fois nous partons pour 2h15 quand nous voulons. Nous allons sur la ligne de départ et prenons la carte au 1/7500. La première balise, si nous ne voulons pas avoir de pénalités est à quelques kilomètres. Une fois celle-ci poinçonnée nous avons eu, pas comme la dernière fois beaucoup de facilité à trouver les autres balises. Pas beaucoup de difficulté si ce n’est de bien choisir son itinéraire. Après 2 heures nous arrivons sur la fin  et passons la ligne d’arrivée persuadés d’avoir toutes les balises. Une fois notre doigt dans la borne des résultats nous apprenons qu’il nous en manque 2. Nous sommes blasé, après avoir refais notre parcours sur la carte il s’est avéré qu’effectivement nous en avions manqué 2.
Un peu blasé pour les manquantes mais heureux d’avoir eu autant de facilité à trouver les 28 autres, nous sommes sûre que si nous avions fait un peu plus attention nous les aurions toutes eu.

Nous avons donc pris la route pour rentrer content et fiers de nous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Course de qualification au championnat de france armée de terre de Course d'Orientation

Le mercredi 23 février avec Séb nous partons pour les qualifications au championnat de France militaire de course d’orientation dans la région de Laval. Nous sommes avec 2 autres collègues de travail qui viennent pour essayer de faire quelques  choses.
A 9H30 nous arrivons et faisons le tour afin de récupérer nos dossards. A 10h30 je suis sur la ligne de départ, seul cette fois et les balises sont à faire dans l’ordre des numéros et les définitions sont en sigle international. Même pas peur, mais j’espère juste faire mieux que l’année dernière car il me manquait une balise.
54mn plus tard je passe la ligne finish avec une seule peur au ventre : ai-je tout trouvé  ou me suis-je trompé ?
Je passe mon doigt dans la borne et là, soulagement : tout est bon.
Séb arrive et comme l’an dernier tout bon.  Maintenant reste à savoir si nous serons retenus pour aller faire les France à La Valbonne en avril à coté de Lyon.



C.O nocturne à MOULIERES (86)

Le samedi 12 février nous voilà Guigui, Séb et moi repartis vers une nouvelle course d’orientation mais là c’est à Bonneuil-Matours village à 28 km au Nord-est de Potiers.
 Après 2 heures de route nous voilà arrivé en pleins dans un champ. Heureusement le temps est avec nous, il ne pleut pas, espérons que ça dure. Séb se dirige vers les tentes qui servent d’accueil et commence à discuter (c’est une vrai pipelette).
Avec Guigui nous nous dirigeons vers les tentes afin de récupérer nos dossards. En arrivant à la table pour se présenter voilà qu’on nous demande des nouveaux certificats médicaux précisant que nous n’avons aucunes contre-indications à la pratique de la course d’orientation en compétition. C’est la première fois que ça nous arrive, nous apprenons donc que nous ne ferons pas partis du classement final. La course n’a pas encore commencé que rien ne va. Nous ne nous laissons pas abattre et allons nous mettre en tenue de course. Une fois revêtue, nous nous sommes tout 3 dirigés vers le point de départ afin de vérifier que notre de doigt  soit vide et qu’il fonctionne bien. Ce serait dommage de faire la course et de s’apercevoir que nous l’avons faite pour le fun. 
Après une petite présentation de la course voilà toutes les équipes alignées les unes à côté des autres les cartes aux pieds : nous n’attendons que le top pour prendre le départ.
Le coup de sifflet et donné et le chrono déclenché, nous voilà guigui et moi de notre côté et Séb du sien partis pour 3 heures de course. Il ne nous faut pas longtemps pour nous rendre compte que cette C.O sera un peut plus technique que les autres. Ne nous décourageons pas  et continuons afin de trouver une balise et une autre puis encore une.
Voilà la fin qui approche, il nous faut donc rejoindre l’arrivé au plus vite pour ne pas prendre de pénalités, ce serait dommage de perdre des points bêtement.  La ligne est franchie en 2h54 avec une grosse vingtaine de balise, pas déçu du tout car cette course nous à prouvé qu’il fallait faire très attention au terrain et à la carte.
Séb aussi est arrivé, avec 2 ou 3 balise de plus que nous, mais lui aussi nous a dit l’avoir trouvé très technique, donc aucuns regrets.
En nous changeant beaucoup de voitures essayaient de sortir du champ sans  s’embourber  mais heureusement que nous étions là avec d’autres pour les aider à rejoindre la route. Voilà nous sommes prêts et embarquons en espérant nous aussi rejoindre la route. Je recule d’un seul coup et là la voiture reste immobile les roues tournant sur elles même. Séb, Guigui et d’autres arrivent pour pousser.  Après plusieurs essais nous y sommes enfin arrivés et commençons à prendre le chemin de Fontenay.
Après quelques kilomètres nous nous faisons arrêter, comme toutes les autres voitures, par un barrage de gendarmes pour contrôler que les conducteurs n’aient  pas bu. Bien sûre que nous sommes repartis de suite mais voilà que 3, 4 kilomètres plus loin un autre barrage. La voiture devant nous se fait contrôler mais nous  ne sommes pas contrôlés et continuons notre chemin avec mon GPS, qui je peux l’avouer aujourd’hui n’était pas paramétré pour prendre la route la plus courte, bien au contraire. Après avoir laissés Séb chez lui, Guigui et moi sommes partis pour Mervent que je puisse laisser la voiture à mon binôme qui a une autre course : un trail d’une petite trentaine de kilomètre, à Ronce  les Bains à une grosse heure et demie au Sud de Fontenay.
Je ne sais pas comment mais je pense qu’il va en chier grave !!!

 


Nouvelle course d'orientation pour les coureurs de la section course à pied. Cette fois c'est à Mervent (85) sur un terrain exigeant physiquement qu'ils se sont classés 20ème au scratch et premier en individuel pour Sébastien BOULARNE et 40ème pour l'équipe Steve DEVASSINE et Frédérick GUILLOUET.

Premier soucis: déclencher son chrono.
reportage video sur télé sud vendée (attendez la fin du reportage)
 
Le samedi 06 février 2011 à 8h me voilà avec Guigui à notre 2ème course d’orientation ; Séb est là aussi. Cette fois elle se fait de jour dans la forêt de MERVENT ; une dizaine de kilomètres au Nord de FONTENAY LE COMTE ;
 
30 balises sont dispersées dans la forêt et nous avons 2h30 pour en trouver le plus possible,
En arrivant sur le lieu de départ Séb et là au milieu de la route à nous attendre.
Nous nous dirigeons vers l’organisation afin de récupérer nos dossards et pouvoir prendre le départ. Comme la dernière fois celui-ci se fait au bon vouloir de chacun.
Une fois en possession du numéro 515, Guigui et moi partons comme des balles vers la 1ère balise, Séb quant à lui part une dizaine de minutes après nous, seul.
Histoire de se mettre en confiance nous assurons les 2ème et 3ème balises ; à la 4ème un blanc se fait et nous perdons vite 10 minutes. Sur la balise suivante nous voyons Séb qui déboule comme une balle de la forêt; nous voilà partie vers la balises suivante comme des fous, après une centaine de mettre le terrain nous rappelle à l’ordre et un mur se dresse devant nous, sans hésiter nous commençons son ascension et récupérons la suivante en laissant Séb.
Là, nos décisions sont cruciales pour la suite de la course ; commençons-nous les balises qui sont à l’Est de notre position ou revenons-nous sur nos pas afin de finir le Sud-ouest de la carte. Ma décision est de revenir sur nos pas, en voyant le dénivelé je me demande si c’est la bonne solution ; mais trop tard nous voilà dans les montés.
Une fois toute cette partie de carte terminée nous commençons à remonter au Nord ; et je ne sais pourquoi à un moment je fais un 180° ; grosse erreur de ma part.
Nous prenons encore quelques balises avant de nous orienter vers le point d’arrivé. La ligne est franchie en 2h26 avec 25 balises (40ème place sur 174). Séb arrive environs 10 minutes après avec une balise de plus, ce qui lui vaut la 20ème place au classement général et 1er en individuel.
 
Après un sandwich accompagné de 2, 3 verres de coca nous faisons le point de nos erreurs. Pas trop mal, si ce n’est mon 180°. Nous prenons un café et nous disons au revoir. La prochaine course est le w-end prochain du côté de Poitier en nocturne ; aï, aï, aï !!
 Steve

 
Le 


 
2 coureurs de grands chemins se sont essayés à la course d'orientation de nuit le 15 janvier à THORIGNE (79)

Steve DEVASSINE et Frédérick GUILLOUET circuit de 3h, 49ème sur 100 avec
430 points sur 600 points possibles.


 




 
Le samedi 14 janvier 2011 à 17h me voilà chez Guigui. Une fois ses affaires embarquées nous sommes parti pour notre 1er course d’orientation nocturne à THORIGNE (79) ; village à 1h au Nord de FONTENAY LE COMTE en voiture.
En arrivant nous récupérons nos dossards et voyons Séb, qui fait parti de l’organisation et nous propose son phare afin d’y voire un peu mieux, après mûre réflexion j’accepte.
18h15, quelques conseils au ~260 participants et nous voilà sur la ligne de départ. Séb nous donne la carte et le chrono est lancé pour un maximum de 3h. Après 5, 6 balises de trouvées nous voilà devant une petite rivière. Obligé de traverser, j’ai de l’eau jusqu’à mi-cuisse alors que Guigui lui, préférant passer à quelques mètres plus haut, en a jusqu’au nombril, je suis mort de rire.
A 2h15 de course nous passons dans un champ très boueux où, malgré les guêtres, nous perdons nos chaussures, Guigui ne rigole plus et commence à en avoir mare et râle. Nous commençons à nous orienter doucement vers la ligne d’arrivé où nous passons le doigt dans la dernière balise.
Une fois changés, nous allons prendre une soupe ainsi qu’un bon verre de vin chaud bien mérité.
Malgré notre minute 17 de pénalité nous finissons avec 26 balises sur 30; content !! Nous nous languissons maintenant la prochaine !!
Steve

 
Participation de 2 coureurs à la SAINTELYON, 68km en nocturne de
Saint-Etienne à Lyon le 05 décembre 2010.


Le commentaire de Fred:

 
Samedi 5 décembre 2010, minuit. Alors que les bars ferment tout doucement leurs portes et que les boites de nuit se remplissent. A SAINT-ETIENNE, par une nuit étoilée à moins 10°C, une horde de coureurs s’élance. La grande famille des trailers à rendez-vous avec la doyenne des courses ultra.
La SAINTELYON 2010 commence. 68 KMS de montagne, de route, de piste, et cette année, petite nouveauté, la neige et le verglas se sont invités à la manifestation. Le week-end comme prévu fût rustique.
 J’ai aimé l’implication et la gentillesse des bénévoles. J’ai regretté l’organisation de l’accueil faite au public (pasta party, douche, dossards, sacs). J’ai adoré la farandole de lumière frontale sur les pistes enneigées. La nuit, le froid, la neige. J’ai apprécié la solidarité entre les coureurs. Les doux-dingues nous encourageant par des températures en-dessous de zéro au milieu de  la nuit m’ont beaucoup impressionné. Je n’aie pas aimé le parcours non-adapté à une course de masse. J’ai apprécié l’organisation générale de la course, ainsi que le vent glacé sur les bords de RHONE. J’ai ressenti l’ivresse de l’arrivée en franchissant la ligne. Je déteste avoir été déclaré « abandon » après 9 h 00 de course. J’apprécie beaucoup l’humilité des organisateurs se remettant en cause après les désagréments de l’accueil aux publics.
Rustique et givré, tel est mon souvenir de cette nuit.


 




Le Marathon du Mans vécu par Fred
 

Quel étrange sentiment celui d'avoir tout donné, et pourtant, ne pas être arrivée à son objectif. Je suis content d'avoir réussi à terminer ce mythe une fois de plus. Mais, malgré la difficulté du circuit, et le vent de face, mon manque d'humilité me demandait de passer sous la barre des 3 h 20. Le résultat est sans appel. L’objectif n'est pas atteint.

 Néanmoins le néanderthalien que je suis à subie le vent, les lignes droites interminables, les montées de quelques kilomètres, et, je suis content. Je monte sur la deuxième marche de mon podium en 3 h 24.

Autocongratulation de rigueur. Ce soir, je suis shooté à l'endorphine, demain je marcherai comme un canard.

 Le pied en somme. Et je suis pourtant prêt à recommencer. Le 5 décembre à minuit départ de St-ETIENNE arrivé 70 kilomètres plus loin.... à LYON. C'est vrai qu'il existe des engins à propulsion mécanique plus pratique et plus rapide. Mais je ne prendrais pas mon pied de la même façon. "A chaque âge ses plaisirs, ses appréhensions et ses vices".




 
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